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Peu importe son avenir, Alexis Lafrenière n'oubliera jamais d'où il vient

PUBLICATION
Mathieu Bouchard-Racine
1 octobre 2020  (23h20)
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À la célèbre émission La semaine des 4 Julie, ce n'était pas Marc Bergevin l'invité hockey cette semaine, mais bien le meilleur espoir du repêchage de mardi prochain, Alexis Lafrenière.

Tout le monde du hockey connaît son nom, qui sera sans aucun doute prononcé en premier par les Rangers de New York.

On parle quand même d'un adolescent de 18 ans, de Saint-Eustache, qui dans un an pourrait faire partie des nominations pour le trophée Calder, remis à la meilleure recrue de la LNH.

C'est un exploit que bien peu pourront se vanter d'avoir réussi dans leur vie. Le MVP d'équipe Canada junior en 2020 a fait part à l'émission de ses plus grandes priorités pour l'avenir.

C'est une tradition, on demande souvent aux recrues ce qu'ils feront de leur première paie.

Phillip Danault avait confié avoir acheté une nouvelle porte de garage chez ses parents, Lafrenière, pour sa part, a promis en direct d'emmener sa famille en vacances.

Il faut dire que lui et son sport ont toujours été la priorité dans sa famille, alors c'est un excellent moyen de remercier ceux qu'il aime.

Une autre révélation de la part du jeune ailier va au niveau de sa culture. Le français, le Québec, il a juré en entrevue ne pas les oublier durant sa carrière en LNH.

Il a même souligné vouloir s'adresser en français dès qu'il le pourra. Il faut dire que New York contient déjà deux Québécois dans sa formation, soit Julien Gauthier et Brendan Lemieux, donc il ne sera pas seul dans son monde.

Crédit La Tribune :
Une nouvelle porte de garage pour les Danault

Crédit DLC :
ALEXIS LAFRENIÈRE NE VEUT PAS PERDRE SON FRANÇAIS

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